Pour les Mille-Goules, les 7 et 8 décembre, je suis seul au départ. La Vendée c’est à moins de 100 bornes de Poitiers donc, je pars après la pluie à 17h, le soleil apparaît enfin !

Une fois de plus je pense passer au travers des averses mais en route, à Le Buisseau exactement, je suis obligé d’enfiler ma tenue de pluie, dare, dare ! Je continue la route avec Jannick et sa compagne. On va se prendre un gros grain sur la gueule. A se demander si c’est pas des vagues de l’océan ! Enfin bref, on arrive à bon port. Y’en a qui nous ont pas attendu pour siffler des binouzes. Il y a plein de connaissancs et les tournées tombent les unes après les autres.

Certains sont déjà partis manger quand tout à coup, à 23h, Régis dit « eh, Dom, on a pas pris l’apéro », c’est vrai ça. Allez hop Ricard et whisky, s’il vous plaît ! Le groupe a déjà entamé son show. On rejoint les autres au repas.

Y’a des voisins pas dérangeants

Pas mal du tout ce petit groupe vendéen !

J’ai un p’tit coup de fatigue, j’vais pas tarder à bâcher, malgré tous ces bons clubs présents. Seuls les Doriphores Cubnezais m’étaient inconnus, ils sont très sympas d’ailleurs !

Après une bonne nuit bien humide, le soleil est de retour.

Dans les concentres vendéennes, il y a toujours de belles mécaniques.

Bien, la selle anti-pluie, là au moins c’est pas la moule qui retient l’eau !

La balade va avoir lieu sous le soleil, la Vendée n’en sera que plus belle. Dommage, il manquait le préfou et les huîtres.

 

De retour sur le campement, la remise des trophées a lieu pendant le repas. C’est déjà la fin !

 

C’est quoi ce motoculteur abandonné en pleine nature. Je le ramènerai bien chez moi !

Les Mille goules, c’est fini !

Au revoir et à la prochaine !

 

Vu qu’il fait beau, je vais en profiter pour me balader dans le coin. La forêt de Mervent et ses alentours sont magnifiques.

Au Nord, y’avait les corons, en Vendée aussi et à Epagne en particulier.

Vouvant

Le château de la Citardière

Mervent et sa mère

La forêt de Mervent possède des arbres exceptionnels. Le plus gros de ces troncs avait pas moins de 138ans. Oui, oui, j’ai compté les années !

Un étang de pêche. Il doit s’en passer de belles dans ces cabanes ! 

Le village minier de Faymoreau a exploité le charbon du bocage vendéen pendant 130ans.

Dans  les deux chèvres, le bois c’est pas du chêne mais, tout simplement du peuplier, et là, j’ai pas vu d’arbres de 138ans.

 

Et bien voilà que la nuit tombe, heureusement que j’avais que 80 bornes pour rentrer sinon, je me serais mis dans la nuit.

 

Photos et texte Dom