Pour cette 3^ème édition le Bol d’Air roule en désordre. Nous sommes trois à partir vendredi matin, because, samedi soir à 19h nous devons être de retour à Poitiers. Trois autres Bol d’Air partent dans l’après midi de Poitiers, quant à Laurent et Véro, eux, ils arrivent de Riom. Le reste du troupeau part samedi matin, c'est-à-dire les cinq derniers.

Pour moi, RDV chez mon beauf. Après le café nous levons l’ancre en direction de Limoges. Ho, la vache, elle est contente de retourner au plateau !

A 13h nous arrivons à St Merd les Oussines. Nous nous arrêtons à l’auberge du Mont Chauvet où l’accueil est excellent. La patronne aime bien les vaches à voir la déco de ses toilettes. Dehors il tombe un crachin assez soutenu, du coup nous nous installons à table. Nous prenons un repas très copieux et très bon pour la modique somme de 14€ tout compris. Nous rentrons notre mascotte pour prendre quelques clichés.

A 15h nous sommes sur le terrain des festivités, y’a pas grand monde d’arrivé.

Nous campons au même endroit que l’année dernière avec le Philippe. Dans la foulée ne tardent pas à arriver tout un tas de potes venus profiter d’une soirée plus calme que celle du samedi soir.

Nos amis de Riom arrivent à leur tour. Ils sont très attendus, et pour cause, c’est eux qui ramènent le trépied pour suspendre la gamelle ainsi que le vin chaud, sans oublier la bouilloire pour le café.

A leur tour débarquent d’autres Bol d’Air, le Jojo, le Stéph et Françoise. Du coup, c’est une super soirée qui va se jouer en bonne compagnie. Mais, pour le ratafia c’est râpé, après l’heure, c’est plus l’heure !

A l’apéro les Bol d’Air font péter les crevettes flambées au Pastis, et le tout sans allumettes. Il suffit de déborder un petit peu de la casserole et le feu remonte dans la gamelle automatiquement!

Le Philippe, lui, son truc c’est les tripes à la mode de je ne sais où ? Enfin, y’a plein de bons produits qui sortent de partout ! C’est ça aussi le but d’une telle soirée, le partage, la communion quoi !!! Enfin faut voir la gueule des enfants de cœur en fin de soirée.

Enfin, après avoir bu le vin de la vache qui rend rouge, nous avons de belles têtes de vainqueurs sur la photo pute.

Un p’tit tour chez nos proches voisins va nous montrer que, eux aussi, sont bien installés et qu’ils ne sont pas là pour se laisser abattrent !

Mon beauf est triste, tout le monde va se coucher.

Laurent et Véro avaient aussi amené de quoi faire un petit abri de fortune qui a été fort apprécié au moment des averses.

Y’a pas mal de monde d’arrivé, nous partons faire un petit tour de terrain et c’est des retrouvailles à n’en plus finir.

Il va être midi et nous descendons à la salle des fêtes de Meymac régulariser notre inscription. Et là, tout comme les années précédentes je ne me lasse pas de voir tout ce matos hétéroclite, un vrai régal !

Je tombe sur des amis normands qui étaient venus dans le coin à l’époque où j’organisais avec ma femme des rallyes touristiques sur le plateau.

De retour sur le terrain nous assistons à l’arrivée d’Alain des Noland

Pour le reste c’est pas mal non plus, ça pourrait ressembler à un camp Napoléonien!

Bon, c’est largement l’heure de retourner au campement pour déguster une brasoucade préparée par nos potes du Sud, Pascal et Didier. Oh fait, c’est quoi une brasoucade, c’est juste des moules avec des légumes ou alors des moules qui grattent le cul ? Hein Didier, c’était un peu fort, y’avait du piment ou bien ?

Après ça, voilà t’y pas que Jakot nous fait du fromage à la louche.

Et dire que dans 2 heures je vais devoir quitter cet endroit dans lequel je me sens si bien! Allez un dernier petit tour, histoire de saluer un maximum de potes.