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24ème concentre des Wibus
les 22 et 23 Mai |
Allez hop, une fois n’est pas coutume,
direction la Bretagne, Plounéour Menez, déjà ça me cause.
Seulement
cinq Bol d’Air au départ, ça s’arrange pas, trop de kilomètres ou quoi ?
Ou alors c’est peut-être la peur de l’eau, y’a une légende qui dit
qu’en Bretagne il pleut souvent. C’est une légende, c’est pas forcément
vrai.
Départ de chez Cathia, Gillou et Brigitte
sur un Varadéro, plus moi et mon neveu Rom 1 sur mon petit Kawa.
Qui
dit Bretagne, dit un p’tit bonjour à Richard et Sandrine, près de Redon.
Château de la Bretesche, magnifique ! |

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Qui dit bonjour à Sandrine et Richard, dit une petite
visite à Camille et Danielle. Un p’tit coup de fil pour signaler notre
passage et nous sommes leurs hôtes pour quelques heures.
Nous arrivons à la concentre en fin d’après midi,
pas grand monde pour l’instant. Nous plantons et respectons la coutume locale,
nous nous dirigeons rapidement vers le manège carré
A la nuit tombée nous avons droit à un feu du
tonnerre, ah c’est du feu, mais pas question de sauter par-dessus
Une fois le repas terminé, retour auprès du feu
Regardez ce logo de club pris sur place et cette photo
de feu, il y a une grande similitude
Le feu se meurt et moi je suis mort de fatigue, alors
je vais me coucher. Toute la nuit la sono n’a pas baissé de volume, entre le
Mach des Passe Montagne et Armand des Culs Sans Joie qui racontent des histoires
à pisser dans son duvet, des conneries du genre « la Bretagne c’est un
beau pays, mais dommage qu’il y ait autant de Bretons !
Dimanche matin après un petit déj’ vite avalé, la
balade |
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Quand on voit à quoi va ressembler Cathia dans
quelques années, y’a de quoi se lamenter
Par un beau ciel bleu nous parcourons les petites
routes du parc d’Armorique
Retour sur le terrain avec la chaleur, tout le monde
est vanné
Beaucoup reprennent la route, nous on part pour le bord
de mer, nous rentrons que demain, c’est lundi de Pentecôte.
Ah, la Bretagne, c’est le pied. On s’est baignés,
enfin pas nous, Gillou seulement, parce que nous on ne sent pas des pieds
C’est bien le bord de mer en mai, y’a presque
personne, on s’arrête quand on veut et où l’on veut
Sur le retour, un petit tour à Morlaix
De retour à Plounéour Menez, on constate une fumée
intense, ce sont les Monts d’Arrée qui brûlent. Les Canadairs travaillent
sans relâche. J’ai vu qu’à la concentre ce matin il y avait l’Indien, je
me demande si c’est pas lui qui a essayé de communiquer avec des signaux de
fumée avec ses collègues les Gorets restés dans les Ardennes
Nous faisons un stage prolongé au café du coin en
compagnie de Dom des Blézis. |
Plus soif, nous rentrons au bivouac
Le Mach, toujours à fond, découvre qu’il a une
grosse cuite
La soirée sera cool, mais sympa. Demain il y a de la
route. |
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On plie les gaules et on rentre chez nous par les
chemins de traverse
Nous montons contempler une dernière fois ces paysages
bretons, avant de traverser le désastre
J’aurai voulu traverser cette zone les yeux fermés
pour garder en mémoire les monts d’Arrée tel que je les connaissais, et non
ce paysage dévasté.
Enfin, pour moi, la Bretagne restera toujours cette
magnifique région avec ses monuments et sa côte sauvage.
Photos : Cathia, Brigitte et Dom
Textes :
Dom