Départ de Poitiers le vendredi après midi à 15h30. Avec moi, Anny, Cathia, Nadège, Tonio, Jakot et Loïc  

Arrivés sur zone vers 1h du mat’, ça n’a pas traîné en route ! Sont déjà sur place les simpsons, David des Noland, Pascal des Gueux. Nous passons vite fait à table, ça fait un moment que la Tortue maintient la tambouille au chaud, d’ailleurs            ça a un peu pris au fond de la gamelle, nous en portons une part de responsabilité.

Il est tard, ça se voit sur leur gueule à moins que ce soit les stigmates de la route qui les ai marqué à ce point

Hé mais, c’est qu’il y a une belle gelée blanche. Ha, les Kamigaz, c’est vraiment une hivernale !!!     

Le samedi, 13h, nous partons pour une visite du musée de l’auto à Mulhouse. Un petit resto sur la route va nous changer la donne et nous finirons au Lion du Territoire de Belfort.

Lors de la visite de la vieille ville nous tombons sur des anciens qui nous font le remake de la libération

Du coup nous retournons à la concentre un peu tard. Comme d’ab’ il y a du beau monde et l’ambiance bat son plein

Elle, elle est fière, normal, c’est ma sœur !           

Quelques motos sur le terrain 

Pendant l’apéro Damien, le sculpteur, nous prépare un brûlot

Mais qu’il est beau ce brûlot. Si vous êtes observateur vous pouvez lire Kamigaz taillé à la tronçonneuse, s’il vous plaît   

Les diablesses du Bol d’Air portent un toast au diable

Bonne ambiance pendant les concerts, normal, les Gastéropodes sont là. Toujours la pêche ceux là !

Bien gamin. Bien mieux que moi, bravo !

Des petits jeunes qui jouent pour le plaisir et ça se voit

La remise des coupes

C’est déjà le dimanche matin, faut penser à rentrer

Ah,  putain de crevaison ! Faut dire que mon pneu est un peu limite. Enfin, après 3 bombes anti-crevaison, je jette l’éponge entre Beaune et Pommard. C’est ça le destin !

Tiens, nos amis les Simpsons qui passent. Ils s’arrêtent eux, c’est pas le cas de tous les motards qui sont passés

Le Deleu, il a dit pas de voiture, mais il a pas dit pas de camion !          

En attendant notre rapatriement par le train nous profitons de la fête du vin des Hospices de Beaune. C’est plus qu’une comédie, c’est la grande pagaille. Quel bordel dans les rues !

Le week-end je remonte à Beaune avec un pneu neuf